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Sous pression des Etats-Unis de Donald Trump, les Vingt-Sept, réunis en sommet à Budapest, engagent vendredi un plan de réformes au long cours inspiré par l'ancien Premier ministre italien Mario Draghi pour tenter de sortir l'économie européenne de l'ornière.
La Bourse de New York a terminé en hausse jeudi, toujours soutenue par la victoire électorale de Donald Trump mais aussi par la perspective de nouvelles baisses de taux de la banque centrale américaine (Fed).
Joe Biden s'est engagé jeudi à assurer une transition "pacifique et ordonnée" avec Donald Trump, son prédécesseur et bientôt successeur à la Maison Blanche, lequel a dit qu'il "pensait" parler bientôt au président russe Vladimir Poutine.
La Banque centrale américaine, la Fed, a abaissé jeudi ses taux d'un quart de point de pourcentage, au lendemain de la réélection de Donald Trump qui pourrait annoncer des jours tumultueux pour l'institution de politique monétaire.
La Banque centrale américaine, la Fed, a abaissé jeudi ses taux d'un quart de point de pourcentage comme attendu, saluant la baisse de l'inflation et la détente du marché du l'emploi, au lendemain de la réélection de Donald Trump.
Dans sa maison en pierre juchée sur une colline dans le nord de l'Ethiopie, Amanuel Hiluf enfile une combinaison intégrale, ajuste le voile et les gants: "il faut se dépêcher car il commence à faire chaud et les abeilles vont être énervées", lance l'apiculteur.
La secrétaire générale de la CGT Sophie Binet a apporté jeudi son soutien aux salariés grévistes de l'entreprise chimique en redressement judiciaire Vencorex, dénonçant "une faillite organisée" et réclamant l'intervention de l'Etat.
La Banque centrale américaine, la Fed, devrait annoncer jeudi une nouvelle baisse de ses taux, un mouvement engagé en septembre à la faveur de la baisse de l'inflation, et qui devrait se prolonger au lendemain de la réélection de Donald Trump.
La Banque d'Angleterre (BoE) a sans surprise abaissé jeudi son taux directeur d'un quart de point, pour la deuxième fois de l’année, à 4,75%, satisfaite de l'évolution de l'inflation, mais craint que le nouveau budget britannique renforce à moyen terme la pression sur les prix.
Les dirigeants européens ont tenté jeudi à Budapest d'afficher un front uni face au retour de Donald Trump à la Maison Blanche, mais les interrogations demeurent sur leur capacité à faire bloc face aux coups de boutoir annoncés du milliardaire républicain.
Cimetières inondés, entreprises de pompes funèbres ravagées, corbillards emportés... A l'heure d'enterrer les dizaines de morts dus aux inondations qui ont meurtri l'Espagne, les difficultés s'accumulent pour les services funéraires, plus d'une semaine après la catastrophe.
Branle-bas de combat jeudi chez les acteurs de l'économie allemande : l'instabilité politique déclenchée par la chute de la coalition d'Olaf Scholz s'ajoute au marasme de l'industrie, imposant des décisions rapides pour sortir de la crise.
La Banque d'Angleterre (BoE) a sans surprise abaissé jeudi son taux directeur d'un quart de point, pour la deuxième fois de l’année, à 4,75%, satisfaite d’un retour de l’inflation à son objectif, mais craint que le nouveau budget britannique renforce la pression sur les prix.
Le chancelier allemand Olaf Scholz doit affronter une pression croissante pour quitter le pouvoir sans délai après l'éclatement la veille de sa fragile gouvernementale, qui a plongé la première économie européenne dans une grave crise, et non attendre le printemps prochain.
La Bourse de Paris évoluait en petite hausse jeudi, entre les gains record des indices américains après la victoire de Donald Trump et les potentielles conséquences négatives sur les entreprises européennes.
A la tête de Bercy durant sept ans, l'ancien ministre de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire a réfuté jeudi toute "faute" ou "dissimulation" face à l'importante dégradation des finances publiques de la France, renvoyant la responsabilité au gouvernement actuel.
Le constructeur automobile japonais Nissan a annoncé jeudi qu'il allait supprimer 9.000 postes dans ses effectifs mondiaux, tout en réduisant de 20% ses capacités de production à travers le globe, sans préciser de calendrier, pour s'adapter à une nette dégradation de ses ventes.
L'ancien ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a estimé jeudi que le dérapage du déficit public de la France à 6,1% du PIB en 2024 était "le choix du gouvernement actuel", réfutant toute "faute" ou "dissimulation" sur la situation des comptes publics.
Le procès d'un drame devenu symbole des ravages du logement indigne s'ouvre jeudi pour six semaines, celui des effondrements de deux immeubles insalubres au coeur de Marseille le 5 novembre 2018, qui ont fait huit morts.
"Pour moi +droits de douane+ sont de très jolis mots", avait déclaré Donald Trump pendant sa campagne. Et pour cause: le président élu des Etats-Unis veut en réintroduire sur l'ensemble des importations, au risque de relancer des guerres commerciales tous azimuts.
Le poids écrasant des thèmes de l'immigration et de l'inflation, le vote pro-Trump d'hommes blancs, noirs ou latinos, une entrée en campagne trop tardive et pas assez distanciée de Joe Biden: voici des raisons cruciales qui expliquent la défaite de Kamala Harris.
Depuis qu'il sait que Donald Trump va revenir à la Maison Blanche, Angel Palazuelos n'a pas beaucoup dormi: à 22 ans, ce jeune sans-papier de Phoenix, dans l'Arizona, est hanté par les promesses de déportation de masse du nouveau président.
Le Premier ministre australien a annoncé jeudi vouloir interdire les moins de 16 ans d'accéder aux réseaux sociaux, s'étant engagé à sévir contre les géants de la tech qui ne protègent pas suffisamment selon lui les utilisateurs vulnérables.
Les députés ont repris mercredi les débats en séance sur la partie recettes du budget de l'Etat, la gauche engrangeant à nouveau les victoires sur le camp gouvernemental, qui a remis en cause la crédibilité des mesures adoptées.
L'Allemagne est entrée mercredi soir dans une période de crise politique majeure avec l'éclatement du fragile gouvernement de coalition du chancelier Olaf Scholz, qui ouvre la voie à de probables élections anticipées début 2025.
La victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine a provoqué un tourbillon sur les marchés mondiaux mercredi, faisant bondir le dollar, le bitcoin, les actions et les taux américains, alors que Wall Street a terminé à des niveaux records.
La Bourse de New York a clôturé en fanfare, réjouie de la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine, qui a propulsé ses trois indices vedettes à de nouveaux records.
La victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine a été largement portée par l'inflation qui touche les Etats-Unis depuis 2021. Mais paradoxalement, le programme économique du milliardaire républicain pourrait faire repartir les prix à la hausse.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a limogé mercredi soir son ministre des Finances et va demander aux députés de se prononcer sur la tenue d'élections anticipées, tirant les conséquences de querelles qui paralysaient sa coalition.
Le poids écrasant des thèmes de l'immigration et de l'inflation, le vote pro-Trump des électeurs masculins, noirs ou latinos, une entrée en campagne trop tardive et pas assez distanciée de Joe Biden: voici les motifs cruciaux expliquant la défaite de Kamala Harris.
Le bitcoin a dépassé pour la première fois la barre des 75.000 dollars mercredi, dopé par la perspective d'un assouplissement réglementaire favorable aux monnaies numériques qui pourrait être mis en place par Donald Trump, à son retour à la Maison Blanche.
L'élection mercredi à la Maison Blanche de Donald Trump, ouvertement climatosceptique et favorable au pétrole, va marquer un tournant à 180 degrés de la politique environnementale et climatique des Etats-Unis et mettre en péril les efforts mondiaux visant à freiner le réchauffement climatique d'origine humaine.